Vous vous souvenez de mon article Publicité ratée !? Mode d’emploi ! de KINGMAKERS MARKETING ? Y a intérêt ! Loool ! Dans la droite ligne de cet article, je vous présente cette pépite du blog « Dans ta Pub » qui est mon gros coup de cœur du mois : Les 5 plus gros fails marketing de l’histoire ! C’est ici !
L’IA couplée à une plateforme de marketing omnicanal permet de faire gagner jusque 10 % sur le panier moyen et de réduire le churn de 24 % m’a expliqué Pauline Delbos, Global Senior Customer Marketing Manager chez Emarsys. Elle en a profité pour me livrer ses 5 conseils principaux pour réussir sa stratégie de marketing omnicanal. Dans…
Chers abonnés (ou pas), nous Kingmakers Marketing, avons décidé d’étudier avec vous le concept marketing appelé le Greenwashing qui peut se résumer à l’art de maquiller son business en affaire écolo. Très utilisé en cette période d’éveil des consciences écologiques, cette stratégie n’en demeure pas moins condamnable et très vicieuse. Comment les entreprises en arrivent là, qu’est ce qui les motivent, comment s’y prennent-elles ? C’est vert ici ! =>
Le Greenwashing ????
Le Greenwashing ou Ecoblanchiment en bon français, est un procédé marketing ou de relations publiques visant à associer à sa marque ou son image, un cachet écologique et environnemental trompeur ou de circonstances. Il est très répandu en ce moment où la question écologique est au 1er plan lors des rencontres internationales.
Le problème de l’Ecoblanchiment est dans sa définition : C’est un procédé marketing habile pour se donner bonne conscience. Tout réside dans la communication et non dans l’action. Plusieurs marques à travers le monde sont accusées de tromper leur clientèle ou le marché de la sorte soit à travers leurs communications, soit à travers le positionnement de leurs produits/services, soit à travers leur marketing d’entreprise.
L’industrie des énergies fossiles et les banques font partie des plus grands méchants climatiques. Greta Thunberg
Conséquences
Quand le biais est découvert, les conséquences en termes d’images peuvent être complètement désastreuses ou… paradoxalement sans conséquences ! Hé oui ! Les consommateurs, quoi qu’on en dise, cherchent avant tout une solution à leur besoin. Le fait d’avoir une empreinte écolo ou pas, ne rentre pas toujours dans l’analyse du comportement du consommateur ou du moins n’en constitue pas l’un des critères primaires. C’est d’autant plus criards dans les pays en voie de développement où les consommateurs n’ont bien souvent pas le choix. En effet, les associations des consommateurs ont peu de poids, la juridiction environnementale est floue et peu respectée, les sanctions envers les contrevenants sont rares et interviennent seulement dans des cas extrêmes (morts d’hommes, pollution à grande échelle…). On comprend aisément que le consommateur africain par exemple n’aura pas le même regard sur les questions climatiques que l’européen, surtout que l’Afrique tout entier ne représente même pas 10% de la pollution mondiale !
Pourquoi paraitre plus vert qu’on ne l’est vraiment ?
C’est tout simplement parce que dans son activité, une entreprise produit beaucoup de déchets, de pollution ou de désagréments pouvant affecter le bien-être social et/ou environnemental et donc par ricochet, son image de marque.
Comme exemple de pollutions, nous avons :
La pollution plastique dont les marques agroalimentaires et cosmétiques en sont de gros producteurs;
La pollution sonore, spécialité des compagnies aériennes
La pollution aquatique due à l’industrie lourde, nucléaire et pétrolière
La pollution aérienne due aux usines à charbons et autres
La pollution au carbone créée par à peu près tous les producteurs et consommateurs
qui vont aussi entrainer
La destruction du couvert forestier
La destruction de l’écosystème
L’apparition de nouvelles maladies
La disparition de la faune et de la flore
Des modifications climatiques…
Les méthodes de Greenwashing
Les entreprises considèrent souvent qu’agir coûte trop cher. Elles usent donc de méthodes bien futées pour maquiller ou enjoliverleurs activités. Nous avons répertorié 10 méthodes non exhaustives qui se répètent souvent. Ce sont :
Le détournement d’attention: On fait un maximum de communication sur le minimum d’action écolo entrepris pour donner l’impression que c’est notre priorité.
Le manque de transparence: On se présente auprès des consommateurs avec un visage écologique alors qu’on en est pas du tout !
Le faux label: On crée un label écolo fake en interne qu’on se plaque sur la poitrine !
La publicité mensongère: On raconte des bobards à nos consommateurs en espérant qu’ils ne poussent pas la réflexion plus loin.
L’omission : On ne dit qu’une petite partie de la vérité aux consommateurs
Le packaging trompeur : On utilise des packs plus éthiques ou de matière 100% recyclable pour des produits qui en vrai sont des poisons !
Le faux prescripteur: Utiliser un faux scientifique ou un influenceur douteux pour témoigner en notre faveur.
Les alliances vertes : S’associer à des ONG ou des partis écolos juste par intérêt
Les dons écolos de circonstance : Faire des dons à des ONG et des partis écolos pour faire bonne figure
Le déni : Communiquer sur l’innocence et la bonne foi de l’entreprise en minimisant ou en occultant l’impact écologique de celle-ci
En conclusion, le Greenwashing est illégal dans de nombreux pays (En France, on a la loi Carbo) même si plusieurs grandes marques s’y risquent encore. A condition de pouvoir prouver son engagement écologique par des chiffres et résultats clairs , il est plus sage de s’en passer. En toute chose, l’entreprise se doit d’être transparente sur ses pratiques, son organisation et sa stratégie. Cela constitue à notre sens, la meilleure communication qu’elle a à offrir !
Le monde vit aujourd’hui une pandémie inédite de par sa mondialisation et son envergure dont le principal acteur a pour nom : COVID-19 et prénom: CORONA VIRUS. La crise est telle, que même les grandes puissances telles que les USA ont du mal à répondre efficacement à ce mal. Et le Marketing dans tout ça ? Quelle(s) opportunité(s) sont encore envisageables pour les entreprises ? Tour d’horizon …
Le monde aujourd’hui en bref ! Depuis le début de la pandémie, des pans entiers de métiers ont vu leurs activités être en péril et s’effondrer. Les uns ont dû mettre la clef sous la porte en attendant des lendemains meilleurs quand d’autres craignent encore plus ces lendemains à venir. Les secteurs les plus impactés sont incontestablement les secteurs liés au tourisme, au sport, à la culture et à l’artisanat. Le secteur aérien est cloué au sol du fait que le monde entier s’est confiné et (re)confiné chacun chez soi…
Selon une étude réalisée en Amérique du Nord sur les conséquences des situations d’urgence ou de catastrophes, 43% des entreprises confrontées à une crise majeure ne rouvrent jamais leurs portes et 29% des entreprises restantes cessent leurs activités au cours des 02 années subséquentes.
90% des compagnies aériennes tutoie plus le sol que le ciel !
Les restaurateurs mangent du pain sec et virent à tour de bras; Les artisans et les artistes se meurent en silence; les sportifs sont nostalgiques et les hommes et femmes de culture se font chier ! … Personne ou presque n’est à l’abri du virus ou d’un chômage partiel, technique ou permanent. Les articles et reportages ne manquant pas de traiter de fond en comble ce sujet, nous ne nous y attarderons pas plus.
Le Marketing dans tout ça ?
Il n’est pas en reste. Il broie du noir depuis 1 an comme le monde entier avec lui. Le symbole le plus parlant de l’impact de cette crise sur le marketing reste sans conteste cette image de Times Square, la Mecque de la publicité, en Mars 2020 complètement déserté, dont les écrans géants encore allumés distillent de vieilles pubs et des messages de précautions que plus personne ne regarde :
Times Square complètement vide !
Ainsi, le marché de l’emploi est un bon indicateur des difficultés que traversent notre métier. Rien qu’en France, les offres d’emploi dans le marketing ouvertes aux cadres ayant moins d’un an d’expérience ont chuté de 55 % par rapport à la même période en 2019 (source: APEC). En clair, à la sortie de l’école, c’est chômage pour tous ! Les entreprises ont coupé leurs budgets marketing, stoppé net les embauches, revu leurs priorités, annulé leurs rencontres B2B, digitalisé leur communication. La marge de manœuvre du marketeur s’est donc réduite en moins d’1 an au Marketing Digital, véritable savoir-faire star de cette période COVID19.
Il y a des domaines donc où pratiquer son art de marketeur n’a donc plus le même sens, du moins à court terme. Ce sont les domaines de la culture (tels que l’évent, l’artisanat et les festivals), les domaines du tourisme et de la restauration ; et enfin le secteur aérien. Le mot d’ordre ici est Accrochez-vous ! S’accrocher le temps que la crise passe (si elle passe !..), les signaux se faisant de plus en plus optimistes du fait de la vaccination.
Le concept de Marketing de crise
Le concept de marketing de crise fait référence à une démarche de création, d’adaptation ou de suppression des actions de marketing entreprises pour faire face à une crise. Le marketing de crise englobe naturellement la communication de crise et la communication en temps de crise. Problème ! Si la crise s’éternise, ce concept n’est pas viable ! En effet, il est intégré dans le management pour les crises à court termes demandant une réponse rapide et une adaptation de circonstances. Dans le cas du COVID19, c’est plus délicat, car le problème qui était perçu à ses débuts comme un phénomène épisodique à forte résonance est devenu une réalité à grande conséquence qui s’impose à tous. Par conséquent, la stratégie marketing de crise est « officiellement » à décliner en stratégie corporate sur le long terme, en prenant en compte les nouveaux facteurs liés à cette pandémie.
Et pour les autres domaines alors ?
Il y a effectivement des domaines pour lesquels « on connait pas la crise ! » Ce sont les domaines liés à Internet. C’est un constat facile à faire d’ailleurs : On a tous dû se tourner vers Internet, le Streaming et le Télétravail pour ne pas péter les plombs ! Les valeurs boursières de Netflix, Zoom et Amazon pour ne citer qu’eux, ont explosé.
Le secteur pharmaceutique « of course », qui concentre une importante part d’investissements depuis 02 ans, pandémie oblige; ainsi que les énergies alternatives dont Tesla est devenu presque le porte drapeau.
En Côte d’Ivoire, l’impact COVID19 a été moindre que prévu, la population offrant une importante résistance et une belle résilience à ce virus. Néanmoins, les impacts sont là. Des tonnes de cacao pourrissent au port d’Abidjan et dans les villages. L’activité économique est ralentie même si pour cette année 2021, on sent une relance. Le parent pauvre est sans conteste le secteur composé des Pme/Sme alors que ce secteur contribue pour +de 30% du PIB, ainsi que le milieu agricole, 1er pilier de l’économie ivoirienne. Peu structurée, non protégée fiscalement, avec une trésorerie tendue, rarement accompagnée par les institutions financières, la petite et moyenne entreprise (PME) souffre en Côte d’ivoire. Pour faire vivre ce pan de notre économie, le gouvernement a mis en place un fonds de soutien et de garantie aux PME de près de 305 Millions €.
Largement insuffisant à notre sens dans la mesure où, une bonne partie de ces entrepreneurs ne pourront pas relancer leurs activités de façon pérenne sans accompagnement stratégique et marketing adapté. Idem pour les acteurs agricoles qui sans coaching et encadrement, courent à la catastrophe.
Nous KINGMAKERS, nous avons mis en place des workshops visant à encourager et à apporter des solutions aux entrepreneurs en ce temps de crise COVID19. Lors de nos cessions, nous partageons avec vous notre avis et nos conseils marketing en fonction de votre secteur et de votre marché. N’hésitez pas à vous inscrire aux Rendez-vous des Kings !Ensemble, nous pouvons vous aider ! Sortez du lot !
MOOV CI sur les traces de SIXT: La tactique de Newsjacking en Côte d’Ivoire !
L’avez-vous remarqué ? MOOV Côte d’Ivoirepratique depuis quelques années maintenant la tactique marketing consistant à profiter d’un buzz pour communiquer : La technique du Newsjacking. Bien que très tendance en ce moment sur le plan international, il est à noter queMoov CI a justement « tendance » à l’utiliser en toutes occasions ces temps-ci. KINGMAKERS a donc décidé d’étudier cette technique marketing si spéciale au travers deMoov CI…le newsjacker ivoirien !
Les5 signesqui te montrent queta campagne Pub va tournerau Fiasco !
Bonne Année 2019 ! Vous visionnez le 1er article de cette nouvelle année et j’ai commencé à l’écrire à mon anniversaire (Yes, les meilleurs naissent en Janvier !). En sillonnant la ville, nous nous sommes rendus compte que plusieurs campagnes publicitaires étaient vouées à l’échec ! On vous partage notre secret cette année afin de vous éviter des dépenses inutiles en communication !
NIKE, c’est le 1er équipementier sportif au monde avec un C.A de 32,5 Milliards $ et un logo parmi les 10 logos les plus identifiables dans le monde. Côté marketing, c’est un poids lourd que nous allons étudier; et pour cause ? Les campagnes NIKE ont souvent été primées, plébiscitées et auréolées… et leur dernière campagne 2018, réalisée par l’agence de publicité indépendante Wieden+Kennedy , fait des ravages ! (au sens propre comme au figuré!). C’est d’ailleurs cette dernière campagne qui nous a poussé à écrire cet article pour faire comprendre à nos lecteurs ce que c’est que la Publicité Engagée, qu’est ce qu’elle implique , quels en sont les impacts et surtout les résultats en terme d’image, de notoriété et de bénéfices pour la marque qui s’y risque !
Au moment où le Festival de Coachella en Californie (USA) bat son plein, nous ne pouvions passer à côté de l’opportunité de partager cet excellent article sur le Marketing événementieldes festivals de musiques !
L’été est synonyme de vacances, plage, mojito et aussi et surtout de festivals de musique ! Il y en a pour tous les goûts : rock, électro, pop… à la plage, à la campagne, en montagne, en ville…
Pour certains, cela reste une sortie culturelle comme une autre pour s’amuser et faire quelque chose de leur temps libre, pour d’autres, il s’agit chaque année de rendez-vous immanquables. Au point d’attendre avec impatience le jour où le programme sera enfin dévoilé. Et désormais, c’est via les réseaux sociaux que les organisateurs font patienter les fans, distillent les infos et diffusent l’ambiance du festival pour le plus grand plaisir des spectateurs et des absents.
Il y a les « gros » festivals, ceux qui sont sur toutes les lèvres et auxquelles il faut être (et se montrer pour certains…), et puis, il y a des festivals plus intimes, plus anonymes mais qui ne déméritent pas…
En Novembre 2014, le groupe français TOTAL en partenariat avec la SIPRA (Société Ivoirienne de production animale) lançait la 1ère chaîne ivoirienne de fast-food TWEAT (abréviation de To-eat) avec un budget de 400.000 € et un objectif à moyen terme d’ouvrir jusqu’à 9 restaurants. Mais ça, c’était avant… Que BURGER KINGs’intéresse à la Côte d’Ivoire et ruine à jamais les espoirs d’un acteur qui se rêvait champion du fast-food à Abidjan ! Etat des lieux marketing de ce chamboulement…
Cela fait un bon moment que nous voulions évaluer le Mix-Marketing de l’entreprise ATOU qui commercialise les canettes de jus de fruits sous la marque IVORIO. Mais il nous fallait dans un 1er temps goûter et faire goûter les produits à un échantillon d’individus de 7 à 77 ans (:-)) et récupérer leurs avis. En outre, nous avons mis en place un brainstorming afin d’avoir les impressions ici et là sur les besoins et attentes du consommateur lambda quant à cette gamme de jus de fruits. Croyez-moi, les résultats en valent la lecture !